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Des livres pour changer de vie

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Une sélection de livres rares et exigeants pour changer de vie.
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J'ai récemment eu le plaisir d'interviewer Attila Pongor, un entrepreneur Hongrois connaissant une réussite exceptionnelle dans son pays et parlant très bien français, pour qu'il réponde à la question suivante : Comment AVOIR l'état d'esprit d'un entrepreneur et qu'est-ce que ça APPORTE concrètement ? Voici sa réponse que vous pouvez consulter en vidéo, en MP3 pendant que vous faites autre chose, genre prendre la voiture, le métro ou un poney, et au format texte pour ceux qui adorent lire :) : https://www.youtube.com/watch?v=1zTnF3ZK4Ag&list=PLlNaq4hbeacS3UztC215k0kXWB2Bhi4vW Faites un clic droit puis cliquez sur "enregistrez sous" ici pour télécharger le MP3 de cette interview Olivier Roland : Bonjour, ici Olivier Roland et bienvenue dans cette nouvelle vidéo. Donc, je me trouve actuellement à Scottsdale en Arizona et je suis avec Attila. Bonjour Attila. Attila : Bonjour. Olivier Roland : Salut. Donc, Attila, comme ça ne s’entend pas parce qu’il vient de dire un bonjour parfaitement en français avec un tout petit accent. Et bien, Attila est Hongrois. Donc, à Hongrie, tu es une sorte de super entrepreneur c'est-à-dire que tu apprends aux Hongrois à créer leur entreprise, à faire en sorte que l’entreprise décolle, à vendre mieux en ligne. Et tu vends notamment des livres que tu fais traduire de l’anglais. Attila : Oui. Olivier Roland : Et des formations que tu crées sur Internet. Attila : Tout à fait. Olivier Roland : Et donc, on a déjà eu l’occasion d’échanger pas mal. Et bien, je me suis dit que ce serait intéressant justement de faire une interview pour avoir un petit peu ton avis, ton point de vue sur comment on peut avoir un esprit d’entrepreneur et qu’est-ce que ça apporte concrètement ? Est-ce que c’est vraiment indispensable pour réussir ? Attila : Oui. Alors, je suis tellement content que je vais parler français parce que dans les quelques dernières années, j’utilise mon anglais. J’ai fait mes études en France, des études supérieures. Et vraiment, c’est un grand plaisir d’être là. Quand j’ai fait mes études en France, tout le monde se moquait de moi parce que comme mon nom est « Attila »… Olivier Roland : C’est vrai que… Attila : On me disait tout le temps « là où Attila passe, l’herbe ne repousse pas. » J’en avais ras-le-bol à l’époque. Maintenant, ça va. C’est vrai qu’Attila c’est un prénom assez fréquent en Hongrie et pas en France. Bon, en ce qui concerne l’entrepreneuriat, pour moi, c’est un amour parce que quand j’ai fait mes études en France et après quand je suis retourné à Hongrie, j’ai commencé à travailler comme cadre, employé, ce que j’ai bien aimé à l’époque. Ça fait déjà presque 25 ans. J’avais vraiment des missions très importantes. J’ai beaucoup voyagé en Europe. J’ai bien aimé. Simplement, un jour, je travaillais en me disant que : Oh, oh, mais je travaille pour quelqu’un d’autre ! Et si je prends le poste de mon patron, je serai un patron. C’est bon, super ! Mais je serai aussi stressé que je suis maintenant, même plus stressé qu’assez parce que j’aurai plus de responsabilités, etc. Et je n’avais à l’époque aucune idée de comment lancer une entreprise, aucune vraiment. Mes parents étaient super sympas, vraiment je suis tellement reconnaissant à mes parents. Simplement, ils étaient employés/cadres. Et chez nous à la maison, autour de la table au dîner, au déjeuner, on n’a pas parlé sur le compta et les fiscs et l’investissement, le retour sur investissement, etc. Tous ces mots, toutes ces expressions, je les ai appris au fur et à mesure. Olivier Roland : Mais en dehors de ton cercle familial et d’amis, qui eux, ne connaissaient pas. Attila : Absolument. Tout à fait. Olivier Roland : Alors, ça, c’est vraiment quelque chose qui est assez fréquent. Bon, vous pouvez avoir la chance de naître dans une famille d’entrepreneur. Mais pour beaucoup d’entre nous, ce n’est pas le cas. Attila : Moi, pas du tout.…
 
J’ai récemment eu le plaisir de lire le passionnant livre Je quitte la sécu de Laurent C. qui raconte son combat pour quitter le régime obligatoire de la sécurité sociale française et prendre une assurance maladie privée. Il s’inscrit dans le combat des associations Liberté Sociale et le Mouvement pour la Liberté de la Protection Sociale (MPLS) qui estiment que depuis que la France a transposé dans son droit interne une directive de l’Union Européenne, il est légal de quitter la sécu et que cela a de multiples avantages, notamment : Réduction drastique des cotisations d’assurance maladie (il n’est pas rare de voir des personnes qui paient 10 fois moins cher leur assurance privée que ce que leur coûtait la sécu) Remboursement à 150% du tarif de la sécu, qui élimine la nécessité de devoir prendre une mutuelle Tarif bloqué à vie en fonction de votre âge à l’entrée dans l’assurance maladie privée, donc une cotisation qui n’est plus liée à votre niveau de revenus mais à votre niveau de risque santé et à l’ancienneté de votre adhésion à l’assurance Mais qu’en est-il de la solidarité ? La sécu n’est-elle pas indispensable pour protéger les plus pauvres et leur permettre d’avoir accès aux meilleurs soins ? Et est-il si facile de quitter la sécu ? Et est-ce même légal ? A quels combats doit-on s’attendre avec l’administration ? C’est pour répondre à ces questions que je suis allé rencontrer Laurent C., qui répond à toutes ces questions et bien plus. L’interview est assez longue, donc vous pouvez la regarder en vidéo mais aussi la télécharger au format MP3 en cliquant ici pour l’écouter tranquillement quand vous serez dans les transports ou que vous ferez votre sport ou la vaisselle :) Ou vous pouvez lire la transcription ci-dessous. https://youtu.be/RksNRWaNpPc Acheter “Je quitte la Sécu - Partie 1 : un parcours du combattant" sur Amazon : Lire plus de commentaires sur "Je quitte la sécu, partie 1" sur Amazon Acheter “Je quitte la Sécu - Partie 2 : pourquoi c'est possible" sur Amazon : Lire plus de commentaires sur "Je quitte la sécu, partie 2" sur Amazon Ressources : Le blog "Je quitte la sécu", dans lequel Laurent raconte son parcours du combattant et qui a servi de base au livre Ses articles sur Contrepoints Mouvement pour la liberté de la protection sociale Transcription texte (littérale) de la vidéo : Olivier Roland : Bonjour, ici Olivier Roland, bienvenue dans cette nouvelle vidéo. Bonjour Laurent. Laurent : Bonjour. Olivier Roland : Laurent, vous êtes l’auteur du livre « Je quitte la sécu »… et non pas « J’arrête la sécu » ! ;) Laurent : Exactement. J’ai arrêté aussi la sécu, c’était mauvais pour ma santé. Olivier Roland : Et donc, deux livres qui sont sortis sur le Kindle pour l’instant. On attend la sortie papier incessamment, d’ici à la fin de l’année. Donc, deux livres que j’ai dévorés et c’est pour ça que j’ai tenu à vous interviewer aujourd’hui parce que chers lecteurs figurez-vous qu’il y a tout un mouvement d’entrepreneurs qui en ont marre de payer ce qu’ils estiment des cotisations trop importantes pour un service qui n’est pas derrière satisfaisant, et qui s’appuient sur une directive européenne – on va en parler – pour essayer de quitter légalement la sécu. Mais comme vous pouvez vous en douter, ce n’est pas facile tous les jours. Donc, on va parler de ça. Mais d’abord, est-ce que vous pouvez vous présenter rapidement. Donc, vous êtes entrepreneur ? Laurent : Oui. Donc, j’ai 47 ans. Je suis marié. J’ai cinq enfants. Je suis entrepreneur dans le domaine de la technologie de l’information, dans le conseil. J’ai monté une première société dans les années 95 qui est montée à 100 personnes. Là, je suis à ma deuxième société, nous sommes 20 personnes. Et la démarche que je fais actuellement est une démarche purement personnelle qui n’impacte pas ma société parce qu’en fait, je suis consultant et je travaille pour ma propr...…
 
Vous pouvez aussi télécharger la version audio MP3 en cliquant ici Pour aller plus loin : Le site web sur lequel Gauthier raconte son aventure : Web Robinson Sa page Facebook Transcription texte (littérale) de la vidéo : Olivier Roland : Bonjour et bienvenue dans cette nouvelle vidéo de « Des livres pour changer de vie ». Je suis actuellement avec Gauthier Toulemonde. Bonjour Gauthier. Gauthier Toulemonde : Bonjour. Olivier Roland : Alors Gauthier a fait récemment une aventure intéressante. Vous avez insisté sur le fait que ce n’est pas un exploit, tout le monde peut le faire. Gauthier Toulemonde : Ce n’est pas du Koh-Lanta, surtout pas. Olivier Roland : Voilà. Je vous présente. Vous êtes entrepreneur, vous êtes chef d’entreprise, vous avez une maison d’édition en fait. Vous faites des magazines, un sur les timbres et un autre sur l’immobilier, le droit dans l’immobilier. Donc là, on se trouve d’ailleurs dans votre bureau près de Lille, avec des livres qui sont assez anciens sur les timbres postes. Et vous avez décidé de partir dans une île déserte avec un ordinateur, des panneaux solaires, une connexion satellite et de gérer votre entreprise à distance pendant 40 jours. Gauthier Toulemonde : C’est exactement ça. En fait, l’idée m’est venue lorsque j’ai rejoint Jean-Louis Étienne à Clipperton, c’était en 2005. Il y avait des scientifiques qui étaient là, et je m’étais aperçu qu’ils travaillaient avec des panneaux solaires, une éolienne et qu’ils étaient en totale autarcie. Donc, ça m’a assez bluffé et mon rêve d’enfant qui était de partir sur une île déserte, tout d’un coup, a commencé à germer. Je me suis dit qu’en fait, c’était possible d’être sur une île déserte, travailler en autarcie. Et après, il y avait un petit peu de temps. Donc, j’ai participé au tour du monde du PlanetSolar, donc le bateau solaire qui a fait le tour du monde sans consommer d’énergie autre que le soleil. Et donc, c’était durant l’étape entre Miami et Cancún, et là encore une fois, j’étais bluffé de voir que le solaire, ça fonctionnait très bien, que les nouvelles technologies, c’était parfait. Et donc là, je me suis dit : « Il faut vraiment y aller, c’est possible ». Et en décembre 2012, j’étais à Gare Saint-Lazare. Il y a énormément de personnes, c’était un flot humain. C’était décembre. C’étaient les gens qui étaient avec des cadeaux, etc. Ils avaient tous l’air extrêmement triste, oppressé, et j’ai trouvé ça absolument redoutable. Olivier Roland : Oui. Gauthier Toulemonde : Ça m'a fait penser au film « L’œuf du serpent ». On voyait des gens qui ont l’air très triste, les images en noir et blanc qui sont terrifiantes. Et j’ai pensé à ça et je me suis dit : c’est quand même absurde. La plupart de ces gens-là qui travaillent dans les services pourraient peut-être travailler un petit peu à distance de chez eux. Ce serait possible. Et donc, je me suis dit : OK, on va faire une opération un peu spectaculaire, et c’est comme ça qu’est né Web Robinson. Lorsque j’ai pris le métro, je me suis dit : ce serait Web Robinson. Je me souviens, c’était entre Pigalle et Lamarck-Caulaincourt et voilà. C’est né comme ça. Olivier Roland : C’est là où vous avez eu l’idée du titre ? Le nom de l’aventure, du site web ? Gauthier Toulemonde : C’est là où j’ai eu l’idée du titre, où me sont revenus le bruit des oiseaux, des chants d’oiseaux à Clipperton, le bruit du ressac et tout ça. Olivier Roland : Juste Clipperton, parce que je ne pense pas que tout le monde connaît, c’est une petite île française. Gauthier Toulemonde : Alors c’est un petit îlot de terre française qui flotte en plein milieu du Pacifique, il n’y a rien autour et elle n'est peuplée que d’oiseaux et de crabes. Olivier Roland : Et c’est à peu près à 2 000 kilomètres à l’ouest du Mexique, si je me rappelle bien ? Gauthier Toulemonde : Très exactement à 1 200 kilomètres d’Acapulco. Olivier Roland : Donc, c’est au milieu de rien. Gauthier Toulemonde : C’est au milieu de rien.…
 
https://www.youtube.com/watch?v=iirpnbnZZ6Q Télécharger le mindmap de l’interview (version JPEG) Vous pouvez aussi télécharger la version audio MP3 en cliquant ici Acheter « J'arrête de râler ! Un livre précieux, un livre nécessaire » sur Amazon. Transcription texte sur comment arrêter de râler Olivier Roland : Bonjour et bienvenue dans cette nouvelle vidéo du blog « Des livres pour changer de vie. ». Je suis actuellement avec Christine Lewicki qui est l’auteure d’un best-seller qui s’appelle « J’arrête de râler ! » Donc, bonjour Christine. Christine Lewicki : Bonjour. Olivier Roland : Ecoute, ça me fait vraiment plaisir de t’accueillir aujourd’hui dans cette interview ; parce que tu as écrit un livre, tu l’as publié. Il est un petit peu sorti de nulle part. Je dis ça entre guillemets. Parce que comme on le verra plus tard, en fait tu avais écrit un blog à la base. Et puis vraiment il y a eu un succès incroyable. Tu me disais tout à l’heure qu’il s’est vendu à plus de 100 000 exemplaires, c’est ça ? Christine Lewicki : Oui. Olivier Roland : Waouh ! Et je me rappelle la première fois que je suis tombé sur ce livre, j’étais dans un aéroport. J’allais à Athènes et je suis tombé là-dessus. Ça m’a fait rigoler de voir le titre. Je l’ai montré à ma copine en disant : « Tiens, ça te ferait du bien ! » Ça n’a pas trop plu à ma copine, mais blague mise à part. Après, je me suis mis à lire le livre et j’ai trouvé ça très intéressant. J’ai commencé d’ailleurs le défi que tu proposes, il y a peu de temps. Et voilà. J’ai voulu t’accueillir pour qu’on discute un petit peu du contenu du livre. Alors déjà, est-ce que tu peux me dire comment ça a démarré cette idée d’arrêter de râler ? Christine Lewicki : Il y a énormément d’éléments qui m’ont amenée finalement un jour, un soir dans mon lit, à prendre la décision d’arrêter de râler. Ce qui s’est passé c’est que concrètement, ce soir-là, dans mon lit, je me suis couchée. Je venais de coucher mes trois enfants. Et après le troisième verre d’eau où l’enfant demande : « J’ai encore envie de boire un verre d’eau ». Ou alors ma fille qui me dit : « Ah, j’ai oublié de te faire signer le papier super important pour la sortie de classe de demain ! » Après tous ces épisodes, finalement, finalement mes enfants étaient couchés. Et je me souviens très bien avoir traversé le couloir et m’être écroulée dans mon lit et me dire : « Aaaaaah ! Enfin ! Ils étaient couchés ! C’était vraiment une journée pourrie aujourd’hui ! » Et l’instant d’après, là j’ai eu un déclic. C’est là où j’ai eu mon, ce qu’on appelle en anglais le « ahah moment », le moment où on a un déclic. Et là, je me suis dit : « Le problème Christine, c’est que cette journée soi-disant pourrie, en fait c’est une journée normale de ta vie. Et en fait, il ne s’est rien passé de grave aujourd’hui. Tu as juste géré ton quotidien. » Et là, je me suis dit : « Mais je ne veux pas me coucher dans cet état-là le soir. Ce n’est pas possible qu’une journée ordinaire de ma vie me fasse autant souffrir et que je la subisse autant. » Et alors là, je me suis dit : « Mais qu’est-ce que j’ai fait ? Qu’est-ce que j’ai fait aujourd’hui qui fait que je me couche dans cet état-là ce soir ? » Et c’est là où j’ai compris. J’ai dit : « ben en fait, t’as résisté. T’as résisté à tout ce qui t’était arrivé ». Alors oui, c’est vrai que le quotidien de ma vie, ma vie ordinaire, c’est vrai qu’elle n’est pas toujours très sexy, mais ce n’est pas une raison pour le subir en fait. Le fait est, c’est qu’une grande partie de ma vie, je l’ai choisie. Mes enfants, je les ai tous choisis. L’endroit où je vis, mon travail. Il y a plein de bonnes choses dans ma vie. Mais du coup, tout ce qui venait un petit peu interférer dans mon quotidien, je le subissais. Alors ça, c’est un peu mon « ahah » moment que j’ai eu dans mon lit, ce moment de réalisation. Alors après, ce qu’il faut savoir c’est que ce soir-là quand j’étais...…
 
Dans cette interview, Sylvain Jeuland du site Soutien Scolaire Vitre nous explique : Comment il a arrêté son doctorat en informatique pour créer sa petite entreprise, après avoir découvert un de mes articles Comment la formation Agir et Réussir l’a aidé à développer son entreprise Comment l’application de quelques conseils concrets ont dramatiquement augmenté sa productivité, sa motivation et son succès Et comment vous pouvez le faire aussi https://youtu.be/bwxliu1niBs Télécharger le mindmap de l’interview (version JPEG) Vous pouvez aussi télécharger la version audio MP3 en cliquant ici Transcription texte (littérale) de l’interview : Olivier Roland : Bonjour, ici Olivier Roland, bienvenue dans cette nouvelle vidéo. Donc, je suis actuellement avec Sylvain Jeuland. Bonjour Sylvain ! Sylvain Jeuland : Bonjour ! Olivier Roland : Sylvain, tu m’as envoyé un e-mail il y a quelque temps qui m’a fait beaucoup plaisir puisqu’en gros tu m’as dit : bon voilà, je suis un élève d’« Agir et Réussir » et un des tout premiers d’ailleurs. Et tu me mets entre parenthèses : très motivé de ta formation « Agir et Réussir ». Et c’est super génial parce que j’ai créé mon entreprise. Maintenant, je me lance dans un deuxième projet, tout ça. Tu m’as même dit : en plus, « Agir et Réussir », ça m’a aidé en huit points bien précis. Tu m’as listé tous les points, donc je me suis dit : waouh ! Ça fait plaisir de recevoir un e-mail spontané comme ça de quelqu’un. Puis en plus, tu as l’air d’avoir un parcours très, très intéressant et je voulais en savoir plus. Alors, est-ce que tu peux te présenter rapidement ? Nous dire un petit peu quel a été ton parcours, quel âge tu as aujourd’hui, tout ça pour qu’on puisse te situer un petit peu. Sylvain Jeuland : OK. Alors, je m’appelle Sylvain Jeuland, j’ai 29 ans. Olivier Roland : Oui. Sylvain Jeuland : Donc, je vais commencer par le parcours scolaire. Au lycée, j’étais fasciné en maths. Du coup, j’ai fait une prépa en mathématiques Maths sup Maths spé. Et j’ai enchaîné sur une école d’Ingénieurs en Informatique à Bordeaux qui s’appelle l’ENSEIRB, une école pas mal. Et ensuite dans cette école, je me suis dirigé peu à peu vers la recherche informatique. Donc, j’ai eu le Master en même temps que le Diplôme d’Ingénieur et on m’a proposé de faire un Doctorat. Donc du coup, j’étais dans le Doctorat voir comment ça allait se passer. Et j’ai trouvé que le Doctorat, pour moi personnellement, l’objectif n’était pas clairement défini. Du coup, je ne savais pas trop où j’allais. Il n’y a pas de ligne d’arrivée bien précise. Et bien, je ne savais plus trop comment faire sur la fin du Doctorat. Voilà. Ça, c’est pour l’aspect scolaire. Sinon, je fais des compétitions sportives, du cyclisme depuis l’âge de 13 ans. J’ai continué ça pour les compétitions pendant mes études. J’ai eu un pic en 2008 et j’ai eu une petite anomalie génétique qui a fait que petit à petit, j’ai marché de moins en moins et j’ai mis longtemps à trouver le diagnostic. Et pendant ce doctorat, j’étais un petit peu déçu sportivement. Du coup, je me suis dit que puisque c’est comme ça, je vais créer mon entreprise de soutien scolaire en mathématiques parce que j’aimais bien donner des conseils à mes copains lycéens, des astuces quand j’étais au lycée. Et du coup, j’ai vu un article invité Olivier sur les 9 choses pour le bien-être. Olivier Roland : Oui. Tout à fait. C’était sur FTS. Sylvain Jeuland : Voilà. Méditation, sport, sommeil, nutrition, massages, maîtrise quoi… Par contre, quand j’ai vu le paragraphe sur l’entrepreneuriat, j’ai dit : « Ah ouais ! Ça, c’est cool. » Et donc du coup, je me suis dit puisque c’est comme ça… Mon père m’avait donné l’idée aussi de faire du soutien scolaire en maths. Et au retour du restaurant universitaire, j’en ai parlé à un copain. Je lui dis : tiens, je vais créer ma boîte de soutien scolaire. Et je l’ai créée dans la semaine.…
 
J’interview aujourd’hui Damien Vernier qui nous explique comment : Il a créé son entreprise La Feuille Verte alors qu’il était étudiant en histoire et en gestion du patrimoine (!) Le fait d’avoir suivi la formation en ligne Une entreprise qui cartonne a totalement changé son business modèle Comment il est passé d’un modèle “solopreneur” où il était homme orchestre à un modèle “entrepreneur” dans lequel il est le chef d’orchestre Comment il est passé de 5 jours de travail par semaine à un jour de travail par semaine… tout en augmentant la rentabilité de son entreprise Ce qui lui a permis de lancer son nouveau projet, Idyoms Et bien d’autres choses encore ! Et c’est parti pour cette interview passionnante : https://youtu.be/h7TcHq05bx8 Télécharger le mindmap de l’interview (version JPEG) Transcription texte (littérale) de l’interview : Olivier Roland : Bonjour et bienvenue dans cette nouvelle vidéo. Je suis actuellement avec Damien Vernier. Bonjour Damien ! Damien Vernier : Bonjour ! Olivier Roland : Donc, Damien Vernier est un entrepreneur qui a deux entreprises. C’est une histoire un petit peu étonnante, qui est d’ailleurs une excellente leçon pour tous les entrepreneurs qui nous écoutent, c’est-à-dire que j’ai fait un concours sur Facebook parce que le groupe « Des livres pour changer de vie » sur Facebook allait atteindre les 20 000 fans. Du coup, je me suis dit : « je vais faire un petit concours rigolo. Je vais offrir un bouquin à la personne qui va me donner la date et l’heure la plus proche de la date réelle à laquelle les 20 000 fans les dépassent ». C’était vraiment un petit concours comme ça, sans prétention, juste pour le fun. Et il se trouve que c’est Damien qui a gagné, qui a trouvé la date et l’heure la plus proche. Donc, vraiment quelque chose de totalement aléatoire, on va dire. Du coup, Damien m’a envoyé ses coordonnées. Puis il a mis dans son mail : « Ecoute, Olivier, c’est super ! Je tenais à te remercier parce que j’ai suivi la formation « Mon Entreprise Cartonne », et ça a fait un gros changement dans mon entreprise ». Et ça, c’est une excellente leçon parce que c’est un petit peu le problème. On peut avoir beaucoup de clients contents mais si on ne va pas les chercher pour avoir des témoignages, on ne sera jamais au courant. Et là en l’occurrence, ça m’a quand même frappé parce que je me suis dit : « Waouh ! C’est dingue, parce que si Damien n’avait pas gagné ce concours, si je n’avais pas fait ce concours qui, complètement, vient de nulle part, je n’aurai jamais été au courant ». Donc ça, c’est juste une parenthèse pour vous dire : « Entrepreneurs, ayez en place des process pour récolter des témoignages clients ». Cette parenthèse faite, Damien, tu m’as expliqué que tu as 2 entreprises aujourd’hui dont une qui s’appelle « La Feuille Verte », c’est ça ? Damien Vernier : Exactement, oui c’est ça. Olivier Roland : Donc, qui est une entreprise de service à la personne en gros ? Damien Vernier : C’est plutôt le service aux entreprises parce que c’est du nettoyage de locaux mais tout ce qui est bureaux, cabinets médicaux et résidences. Olivier Roland : D’accord. Aujourd’hui, elle emploie 7 personnes sans te compter. Damien Vernier : C’est ça. Olivier Roland : Ok. On va en parler. Justement en suivant cette formation « Mon Entreprise Cartonne », tu as bien appliqué. Ça, c’est génial déjà parce qu’il faut savoir que la plupart des gens qui suivent une formation ne l’appliquent pas. Donc, on va voir comment tu as fait ? Qu’est-ce qui t’as différencié des autres ? Et en appliquant, tu as réussi à vraiment optimiser de manière très importante cette entreprise, ce qui t’as permis derrière d’en créer une deuxième. On en parlera après. Mais on peut déjà donner son nom qui s’appelle Idyoms. Déjà avant de commencer, est-ce que tu peux nous dire quand tu as créé « La Feuille Verte » et qu’est-ce que tu faisais avant ?…
 
Ces dernières années j'ai côtoyé de nombreuses personnes ayant atteint la liberté financière absolue beaucoup étant des entrepreneurs, mais pas seulement. Au fur et à mesure de ces rencontres, j'ai commencé à remarquer que ces personnes avaient des points communs qui revenaient sans cesse, des habitudes qui semblaient très courantes chez eux mais très rares chez les autres. J’en avais déjà parlé dans cette vidéo : évitez une erreur qui m'a couté des années, même si ce n’était pas le sujet principal. Aujourd’hui j’ai le plaisir d’accueillir Roger Lannoy, coach international en motivation, partenaire de Tony Robbins pour les francophones en Europe et vivant dans l’indépendance financière dans le sud de l’Espagne, qui est en plein dans un lancement intitulé “Les clés de l’abondance”, dans lequel il vous donne des vidéos gratuites sur le thème de l’indépendance financière. (Je suis un partenaire pour ce lancement. Ce qui signifie que si vous cliquez sur un lien dans cet article qui y mène et que vous décidez d’acheter la formation de Roger, je toucherai une commission d’affilié sans que cela augmente le prix final. Merci si vous le faites :) ) Dans cette interview, Roger nous donne une définition en trois étapes de la liberté financière ; et des 4 habitudes communes à beaucoup de ceux qui l’ont atteint. C’est parti ! https://youtu.be/TP15tkN5Bko Téléchargez le mindmap de l'interview (version JPG) Transcription texte (littérale) de l'interview sur liberté financière absolue: Olivier Roland : Bonjour et bienvenue dans cette nouvelle vidéo. Je suis actuellement avec Roger Lannoy qui est un coach international qui travaille notamment avec Tony Robbins. Bonjour Roger ! Roger Lannoy : Bonjour Olivier ! Olivier Roland : On est là ensemble aujourd’hui pour parler d’indépendance financière puisque tu es actuellement en plein lancement sur un produit qui s’appelle « les Clés de l’abondance » dont je suis partenaire. Tu es indépendant financièrement depuis deux ans. C’est ça, ce que tu me disais ? Roger Lannoy : C’est ça. Pour moi, il y a trois étapes dans l’indépendance financière que j’ai l’occasion d’ailleurs de développer dans des séminaires. Il y a une première étape que j’appelle « Avoir la sécurité financière ». La sécurité financière, pour moi, c’est une des bases que je recommande à tout le monde d’avoir très rapidement. C’est de prendre un peu quels sont tes frais mensuels incompressibles sans faire des dépenses, sans aller au restaurant, des trucs comme ça. Mais vraiment l’incompressible. Qu’est-ce que tu as vraiment besoin que tu ne puisses pas diminuer tous les mois, multiplié par 6 ou par 12, six mois ou un an pour avoir cette première somme de côté. Ce qui permet déjà, surtout quand on est entrepreneur ou salarié, d’avoir une certaine sécurité d’esprit aussi parce que si tous les mois, tu dis : « Ok, il faut que j’y arrive », et que tu sais que tu as ce petit matelas de côté, je peux te dire que je suis passé par là, je suis parti de zéro, mais déjà là, tu te sens nettement mieux pour travailler. Chacun évidemment a ses émotions, son caractère, mais tu te sens déjà beaucoup plus à l’aise pour travailler. Si c’est Ok, bon. Je peux faire un mauvais mois mais je sais que j’ai une pomme pour la soif ; comme on dit chez nous en Belgique. C’est la première étape. Olivier Roland : C’est l’idée d’avoir que même s’il y a une grosse catastrophe qui arrive et qu’on perd toute source de revenu, au moins on a entre 6 et 12 mois pour se retourner et trouver une solution puisqu’on a de l’argent de côté typiquement sur un livret A ou quelque chose de très liquide. Roger Lannoy : Tout à fait, c’est exactement ça. Évidemment le but, ce n’est pas de le toucher, ce n’est pas d’aller le chercher. Mais je peux te dire qu’avec l’expérience que j’ai en coaching ; d’abord, je l’ai vécu moi-même, mais l’expérience aussi que je n’avais tué personne,…
 
Décidemment… Après que l’Express ait classé Des Livres Pour Changer de Vie dans les 25 blogs les plus utiles pour les entrepreneurs, la journaliste Isabelle Gonse m’a fait le plaisir de m’inviter dans son émission “Un bout de chemin ensemble” consacrée au développement personnel. Après une rapide présentation de mon parcours d’entrepreneur, j’aborde en particulier la relation entre les livres et le développement personnel, en vous donnant de nombreux conseils concrets à mettre en pratique immédiatement pour améliorer votre vie. Je pense que cette émission est une excellente introduction au développement personnel (à offrir en cadeau à un ami qui veut s’y initier !) et un excellent rappel des bases pour les plus aguerris d’entre vous ;) . Vous pouvez écouter ce podcast en live en cliquant sur le bouton Play en haut. Téléchargez le MP3 en cliquant ici, ou le récupérer dans iTunes directement (note : le podcast connaît un problème technique sur iTunes actuellement. Il sera bientôt à nouveau fonctionnel d’après Apple). Transcription texte de l’émission : Isabelle Gonse : Bonjour et bienvenue sur notre nouvelle émission « un bout de chemin ensemble ». Vous êtes aujourd'hui avec Isabelle Gonse comme un vendredi sur deux. Et j'ai le plaisir aujourd'hui d'accueillir Olivier Roland qui est blogueur professionnel. Bonjour Olivier! Olivier Roland : Bonjour Isabelle. Isabelle Gonse : Bonjour et bienvenue sur Radio Enghien. Vous êtes venu de Lille tout exprès pour cette émission, merci de vous être déplacé. Nous allons passer une heure et demie ensemble et aborder pas mal de sujets. Vous vous demandez sans doute ce qu'un blogueur professionnel vient faire ici, et ce qu'est un blogueur professionnel d’ailleurs. Nous allons voir tout cela. Alors, aujourd'hui, nous allons parler de développement personnel. Car c'est toujours le sujet de l'émission et à travers le blog d'Olivier Roland qui s'appelle « des livres pour changer de vie ». Olivier Roland : C'est bien cela. Isabelle Gonse : Des livres pour changer de vie, c'est tout un programme. Nous allons passer différentes idées de livres qui vous ont vraiment aidé, ainsi que vos auditeurs. Nous n'allons pas rester dans la théorie puisque vous allez aussi donner des conseils très pratiques que vous avez appliqués vous-même dans votre propre vie pour réussir dans votre métier de blogueur et aussi pour avancer. Voilà le programme. Je vous rappelle que vos appels sont les bienvenus à la radio. Si vous souhaitez poser des questions, n'hésitez pas à nous appeler au 01.34.12.12.22 sur radio Enghien et Olivier Roland répondra à vos questions. Pour commencer, Olivier quel a été votre parcours? Olivier est un jeune homme d'une trentaine d'années... Olivier Roland : C'est cela, 31 ans. Isabelle Gonse : 31 ans, curieux, dynamique, qui s'intéresse à tout, ce qui est un peu votre force. Il y a 3-4 ans vous vous êtes lancé dans les blogs. Racontez-nous comment vous en êtes arrivé là. Olivier Roland : J'ai toujours été entrepreneur dans l'âme puisque j'ai créé ma première entreprise à 19 ans. J'ai quitté l'école à 18 ans avant même d'avoir le bac pour me lancer dans l'aventure de la création de l'entreprise. D'ailleurs j'aime dire que j'ai un bac -2. J'ai attrapé le virus de l'entrepreneuriat très tôt, j'ai créé une entreprise dans les services de l'informatique, qui a été une aventure incroyable, géniale à tous les niveaux mais qui au bout de quelques années commençait à m'ennuyer car je passais beaucoup de temps dans cette entreprise, j'avais un rythme de vie déséquilibré. Je travaillais plus de 60 heures par semaine, souvent 70... Je n'avais pas un équilibre entre ma vie personnelle et professionnelle et je cherchais un moyen de m'en échapper. Isabelle Gonse : Nous allons détailler cette expérience, c'est quand même formidable, sans avoir le bac, avec une formation littéraire à la base, mais passionné d'informatique...geek on peut dire...…
 
https://youtu.be/VZqoSVJjSHg Vous pouvez également consulter cette vidéo du livre au format audio uniquement en téléchargeant le MP3 ; ou en le récupérant dans iTunes directement. Acheter La Grève sur Amazon : Transcription texte (littérale) de la vidéo : Bonjour et bienvenue dans cette nouvelle vidéo du blog Des Livres Pour Changer de Vie.Je me trouve actuellement à Lille et je vous fais cette vidéo rapidement pour vous parler d’un livre exceptionnel qui vient juste d’être publié officiellement en France, et qui s’appelle La Grève, d’Ayn Rand. C’est un livre dont je vous ai déjà parlé brièvement sur mon blog Blogueur Pro dans mon article sur Los Angeles. Je vous avais parlé de ce livre en vous disant que c’était un livre secret, inconnu en France. Eh bien ça y est, il n’est plus secret, il a été enfin publié en France ! Si j’ai souhaité vous parler de ce livre, c’est que je le trouve vraiment exceptionnel, et qu’en plus l’histoire de sa traduction officielle en français est vraiment rocambolesque, c’est le moins que l’on puisse dire ! Il faut savoir que ce livre a été publié officiellement en 1957 aux États-Unis. La Grève devenu un véritable phénomène, c’est un best-seller qui s’est vendu à plus de dix millions d’exemplaires. Un sondage a même déterminé que ce livre est le deuxième livre le plus populaire aux États-Unis après la Bible. On estime qu’environ 8 % des Américains l’ont lu. Ce qui représente quand même trente-deux millions de personnes, donc c’est vraiment énorme. Ce livre - Atlas Shrugged en anglais- a vraiment une influence déterminante sur les États-Unis. Donc l’histoire de sa traduction est rocambolesque. En 1958, un éditeur suisse a commencé à faire la traduction de ce livre, sous le titre "La Révolte d'Atlas". Il a traduit les deux tiers de ce livre. Ayn Rand, qui lisait parfaitement le français, a eu l’occasion de lire cette traduction. Il faut savoir qu’elle l’a répudiée parce qu’elle estimait que cette traduction n’était pas d’une qualité suffisante. Donc on a eu droit à deux tiers de traduction de mauvaise qualité. L’éditeur a ensuite fait faillite. Et pendant cinquante ans, il n’y a pas eu une seule traduction officielle en français. Donc c’est assez incroyable, on peut même se demander quand on a l’a lu, s’il n’y a pas eu une forme de censure. Parce qu’il faut savoir que le contenu de La Grève va vraiment à l’encontre de toute la politique économique et sociale de la France de ces quarante dernières années ; on peut vraiment se demander s’il n’y a pas eu une certaine forme de censure. En 2009, une femme a été complètement révoltée par l’absence de ce livre si connu aux États-Unis et complètement inconnu en France, et a décidé de prendre sur son temps libre, pendant un an, pour travailler sur un projet de traduction pirate, c'est-à-dire qu’elle n’a pas demandé l’autorisation aux ayants droit de cette œuvre. Elle a donc travaillé elle-même pendant un an sur la traduction pirate de cette œuvre. Cette femme, c’est Monique di Pieirro. Elle a sorti une traduction pirate en PDF en 2009. C’est cette traduction pirate que j’ai eu l’occasion de lire, et c’est de celle-là dont j’ai parlé dans mon article sur Blogueur Pro. Je vous disais dans cet article que la seule occasion pour laquelle je suis fier d’avoir accès à une œuvre piratée, c’est quand cette œuvre pirate est la seule manière d’avoir accès à l’œuvre. Mais aujourd’hui, ce n’est plus la peine de télécharger cette œuvre pirate ; puisqu’on a enfin une traduction officielle sous le titre "La Grève". La traductrice n’est pas la même, c’est Sophie Bastide-Foltz, qui elle aussi a dû sans doute travailler pas mal de temps, donc merci Monique et merci Sophie, si vous regardez cette vidéo, pour votre travail exceptionnel qui permet enfin de faire connaître cette œuvre géniale en France. Juste un bémol sur la traduction. Je ne suis pas sûr que La Grève soit un titre vraiment probant pour le marché français.…
 
Publier directement des livres en format Kindle. Vous pouvez également consulter cette vidéo au format audio uniquement en téléchargeant le MP3, ou en le récupérant dans iTunes directement. En savoir plus sur le Kindle sur Amazon : Qu'est-ce que le format Kindle ? En 2007, le géant mondial du commerce en ligne Amazon a introduit un lecteur de livre électronique relativement bon marché, le format Kindle. Le timing était parfait et l’entreprise contrôlait déjà les ventes des livres en ligne. Ce qui suivit fut une véritable révolution, non seulement pour les habitudes des lecteurs, mais aussi dans le monde de l’édition. L’incroyable percé du lecteur Kindle Lors du lancement du Kindle, Amazon comptait environ 90 000 titres dans son catalogue de livres électroniques. Au moment d'écrire cet article, la boutique Kindle répertorie 6 millions de titres différents. Après des années de combats avec les éditeurs, la forte concurrence de Barnes & Noble et d'autres concurrents, et d'innombrables systèmes de tarification différents, Amazon est désormais le leader incontestable des marchés du livre électronique et du lecteur électronique. Selon une étude faite par le spécialiste du marché du livre AuthorEarnings, Amazon contrôle 80% du marché du livre électronique aux États-Unis. Et le Kindle lui-même est devenu effectivement un marque Kindle est même devenue le nom souvent employé pour désigner le lecteur électronique, tout comme l’est la SmartWatch d’Apple. L’histoire du format Kindle Lors de son introduction, le Kindle n'était pas le premier lecteur de livre électronique dédié, mais il avait peu de concurrence. Le marché était plutôt timide a l’idée de lire des livres sur un appareil électronique, mais les gens commençaient à prendre l’habitude des petits appareils dédiés à la consommation de média. Sous la tutelle de Steve Jobs, Apple contrôlait déjà le marché de la musique avec sa gamme d’iPod depuis quelques années et venait de lancer l’iPhone. Le tout premier smartphone orienté objet faisait déjà fureur auprès des consommateurs et le pionnier de l’informatique avait voler la vedette à Blackberry. Amazon a donc littéralement créer le marché au bon moment et avec les bons outils. L’entreprise américaine Amazon présente trois forces distinctes par rapport aux fabricants de livres électroniques antérieurs La première est que la société a conçu le Kindle pour s'interfacer de manière transparente avec la boutique en ligne d'Amazon. La deuxième est que le succès initial rencontré par le fondateur d'Amazon Jeff Bezos repose sur sa maitrise du marché du livre. Aujourd’hui, peu de gens savent qu’une librairie en ligne est le tout premier business modèle d’Amazon. La troisième est qu’Amazon possédait déjà en 2007 une énorme clientèle. Ces trois facteurs donnèrent au Kindle une longueur d'avance sur la concurrence. A lire également : mon article concernent le secrets du succès de Jeff Bezos. Comment fonctionne le Kindle ? Amazon.com héberge plus d'un million de livres en format électronique. Le format Kindle étant sans fil, vous pouvez accéder la boutique sans connecter l'appareil à un ordinateur. Vous pouvez acheter un livre ou vous abonner à une version électronique d'un journal sur Amazon et le télécharger directement sur votre Kindle. Pourquoi utiliser un lecteur de livre électronique ? Le lecteur électronique présente plusieurs avantages : Capacité accrue. Vous pouvez stocker des milliers de livres (le modèle de base d'Amazon, peut contenir jusqu'à 1 400 titres) sur un seul appareil Kindle, ce qui vous permet de sauver considérablement d’espace. Portabilité. Un petit modèle Kindle est plus petit et plus léger qu’un livre de poche traditionnel. Options de lecture. Vous pouvez ajuster le style de police ainsi que la grosseur des lettres. Les modèles plus avancés ont même des lumières intégrées. Apprentissage des langues étrangères.…
 
https://youtu.be/LZCBZQZ5rgE La chronique des 3 livres que je recommande : La semaine de 4 heures Serons-nous immortels ? Comment se faire des amis Que pensez-vous de cette vidéo ? Avez-vous déjà lu des livres qui ont changé votre vie, et si oui, lesquels ? Faites-le nous savoir dans les commentaires ! ;) Transcription texte (et littérale ;) ) de la vidéo les entrepreneurs : Bonjour et bienvenue dans cette nouvelle vidéo de « des livres pour changer de vie ». Je me trouve actuellement à San Francisco. Vous aurez sans doute reconnu derrière le Golden Gate Bridge qui est magnifique par ce beau soleil. Pour la petite histoire il faut savoir que c'est très rare de voir le pont aussi bien, souvent il est complètement noyé dans un voile de brume, la chanson qui dit que « San Francisco s'embrume » ne ment pas, il y a vraiment beaucoup de nuages ici. Il faut savoir que San Francisco est une ville où il y a énormément d'entrepreneurs et d'innovations, nous ne sommes pas loin de la Silicon Valley, il y a beaucoup de start-up ici qui se créent, qui naissent dans des tas de secteurs différents et j'ai rencontré beaucoup d'entrepreneurs dans la région. Cela m'a donné l'idée de faire cette vidéo parce que j'ai réalisé quand j'ai rencontré ces entrepreneurs une erreur que j'ai faite pendant des années et qui m'a coûté des années de ma vie et je n'aimerais pas que vous fassiez cette erreur aussi. Mais quelle est cette erreur ? Quand j'ai rencontré ces entrepreneurs, je leur ai posé deux questions; deux questions que je pose souvent quand je rencontre des entrepreneurs à succès partout dans le monde. Ces questions quelles sont-elles ? C'est très simple : · la première question c'est « est-ce que tu regardes beaucoup la télé ? », · la deuxième question c'est « est-ce que tu lis beaucoup ? ». Et les entrepreneurs que j'ai rencontrés ici à San Francisco et la plupart des entrepreneurs à succès que j'ai rencontrés dans le monde ont répondu en général « non je ne regarde pas la télé » (la plupart d'ailleurs n'ont même pas de télévision) et « oui je lis beaucoup de livres et de livres de non-fiction » et ça me rappelle une phrase je crois de Jim Collins, un entrepreneur américain très célèbre, qui dit « les pauvres ont de grandes télés, les riches ont de grandes bibliothèques ». C'est vraiment un point commun que j'ai rencontré chez beaucoup d'entrepreneurs qui ont du succès; la plupart lisent beaucoup plus qu'ils ne regardent la télévision. Quelle est l'erreur que j'ai faite par rapport à ça ? Eh bien j'ai toujours adoré lire. Je n'ai jamais regardé beaucoup la télévision; mais pendant des années je n'ai lu que de la fiction ou quasiment que de la fiction. Alors la fiction c'est très bien ; comme vous sans doute j'adore lire un bon roman et me laisser complètement entraîner dedans; et avoir envie de toujours continuer à tourner les pages pour savoir ce qu'il va se passer. Mais le problème c'est qu'il y a des livres de non-fiction tellement extraordinaires qu'ils peuvent véritablement changer votre vie. J'en ai chroniqué certains sur ce blog d'où le nom « des livres pour changer de vie ». Mais il faut savoir que je n'ai commencé à lire des livres de non-fiction que très tard. En fait, pour ceux qui me suivent un petit peu, vous savez que j'ai créé ma première entreprise à 19 ans et du coup j'étais un petit peu trop fier d'être ce qu'on appelle un self made man c'est-à-dire d'être un autodidacte. J'étais fier de ne pas avoir fait d'études, j'étais fier de n'avoir eu besoin de personne pour créer mon entreprise. Et du coup je me disais : les cours, je n'en ai pas besoin, je n'ai pas besoin de lire de bouquins, je suis tellement intelligent que je peux me débrouiller sans. Ca a été l'une des plus grandes erreurs que j'ai faites dans ma vie parce qu'elle m'a coûté des années de progrès dans mon entreprise alors que j'aurais pu avoir une entreprise qui aurait eu beaucoup plus d...…
 
Résumé du livre Père Riche, Père Pauvre de Robert Kiyosaki : « La principale raison pour laquelle les gens sont aux prises avec des problèmes financiers est qu’ils ont passé plusieurs années à l’école mais n’ont rien appris en ce qui concerne l’argent. Il en résulte que les gens apprennent à travailler au service de l’argent… Mais n’apprennent jamais à mettre l’argent à leur service. » De Robert Kiyosaki, 2001, 240 pages Note : Cette chronique invitée a été rédigée par Thibaud, auteur du Blog Mes Finances Mode D’emploi. Nous vous invitons à remplir un questionnaire concernant le livre Père Riche, Père Pauvre Les 10 principes du livre Père riche, Père pauvre de Robert Kiyosaki Les riches ne construisent pas leur fortune en étant salariés Connaitre la différence entre un bien et un investissement Les riches ne travaillent pas pour l’argent La finance ne doit pas être un mystère Soyez opportuniste Une bonne idée d’affaire règle un problème Le courage est une faculté capitale en entreprenariat Devenez un as de la négociation Payez-vous en premier Connaitre les compétences de l’entrepreneuriat Chronique et résumé du livre Père riche, pre pauvre de Robert Kiyosaki Si vous préférez la vidéo au texte, j'ai préparé une chronique illustrée en vidéo du Père riche, père pauvre 🙂 : https://www.youtube.com/watch?v=4JLcOGXkHHY&t=162s Introduction Le livre Père Riche, Père Pauvre met en scène l’histoire de deux pères, l’un bardé de diplômes, l’autre titulaire d’un Bac - 2. Croyant jouir de conditions idéales, le père sur-diplômé laissera à sa mort un héritage proche du néant avec même quelques factures impayées par ci par là. Le père titulaire d’un Bac - 2 trouvera le succès financier et deviendra l’un des hommes les plus riches d’Hawaï et transmettra à son fils un véritable empire. Tout au long de sa vie, le premier prononcera des phrases du type « Je ne peux me permettre de m’offrir ceci ou cela » alors que le second dira : « Comment puis-je me l’offrir ? ». C'est l'histoire d'enfance de Robert Kiyosaki, qui, grâce aux expériences vécues à cette époque et au mentorat du guide que fut le Père Riche, est devenu un investisseur prospère, un entrepreneur à succès et un auteur de renommé mondiale. Le père qui a su accumuler des millions aide deux petits garçons en enseignant d’inestimables leçons sur l’argent par le biais de leurs propres expériences. La plus importante d’entre elles étant sans doute de comprendre comment utiliser au mieux son esprit et son temps pour créer sa propre richesse. Libérez-vous de la « rat race ». Apprenez à saisir les opportunités, trouvez des solutions, occupez-vous de vos affaires et surtout, apprenez à faire travailler l’argent pour vous, et non plus à en être l’esclave ! NB : les expressions « pauvres » et « riches » sont utilisées par l'auteur dans le but d’expliquer quel type de comportement est préférable pour devenir libre financièrement. Il ne s’agit pas de vous juger sur l’état actuel de vos finances et de votre richesse ;) . « L'échec fait partie du processus de réussite. Les personnes qui évitent l’échec évitent également le succès. » Robert Kiyosaki, Père riche, Père pauvre Quelques perles de sagesse tirées du livre Père riche, Père pauvre Vous êtes à l’image de vos pensées, Etre salarié, c’est une solution à court terme qui peut devenir un problème de long terme, Un esclave même payé une fortune reste un esclave, A quoi cela sert-il de vouloir gravir les échelons de l’entreprise quand vous pouvez posséder l’entreprise ? 2 chemins divergeaient à l’orée d’un bois, et moi, J’ai choisi le moins emprunté, celui que personne ne prend, Et c’est ce choix qui a fait toute la différence. Robert Frost, The Road Not Taken Avec son livre Père riche, Père pauvre, Robert Kiyosaki enseigne une méthode qui a fait de lui un multi millionnaire…
 
Vous pouvez écouter ce podcast en live en cliquant sur le bouton Play en haut, téléchargez le MP3 en cliquant sur Download, ou le récupérer dans iTunes directement. Transcription texte de l’interview : Olivier : Bonjour, c'est Olivier. Bienvenue dans cette nouvelle interview du blog des livres pour changer de vie. Je suis actuellement avec Jérôme Fournier. Bonjour Jérôme ! Jérôme Fournier : Bonjour Olivier ! Olivier : J'ai souhaité t'interviewer parce que tu as lancé il y a peu de temps le blog Capital Story. Ça a généré un petit buzz sur le Web parce que tu te présentes comme un fonctionnaire qui gagne aujourd'hui 1650 € par mois et qui malgré ça possède huit appartements, une assurance vie, des placements bancaires et des investissements un peu partout. La première fois que tu as fait ton premier investissement, tu gagnais à peu près 1200 € par mois. Ça paraît absolument incroyable de gagner 1600 € par mois et de posséder 8 appartements. J'ai voulu en savoir plus… Est-ce que tu peux te présenter rapidement pour ceux qui ne te connaissent pas, nous raconter un petit peu ton parcours et comment tu en es venu à l'investissement ? Jérôme Fournier : Avec plaisir ! Comme tu l'as dit, je m'appelle Jérôme. Je suis fonctionnaire. Je touche à l'heure actuelle 1650 € par mois. J'ai commencé à investir dans l'immobilier pour ma résidence principale quand j'avais 1200 €, parce que je n'étais que stagiaire dans la fonction publique. J'ai donc acheté ma résidence principale à une bonne période. Il faut dire que c'est une chose quand même importante. C'était en fin 2001. À l'heure actuelle pour faire une plus-value, c'est quand même honnêtement compliqué. Et ainsi de suite, j'ai pu progresser pour arriver à l'heure actuelle à un bon statut social, même si je suis encore obligé de travailler avant d'être indépendant financièrement. Mon objectif est d'être indépendant financièrement avant l'âge de 40 ans. Olivier : Waouh ! Aujourd'hui, quel âge as-tu? Jérôme Fournier : Je viens d'avoir 33 ans le 15 octobre. Olivier : Je pense que nos auditeurs ont repéré que tu as l'accent chantant ! Tu viens de Bordeaux… Jérôme Fournier : Exactement ! Je suis de la région bordelaise, là où il y a le bon vin, les places historiques… C'est franchement une très belle ville ! Olivier : Je confirme ! Tu nous as déjà donné ton objectif, à savoir : être indépendant financièrement avant 40 ans. Tu touchais 1200 €. Expliques-nous comment tu as eu l'idée d’investir pour ta résidence principale ? Qu'est-ce qui a fait le déclic ? Jérôme Fournier : Tout basiquement, pour ma résidence principale, j'habitais chez mes parents. J'étais jeune. J’avais 22 ou 23 ans à l'époque si je ne dis pas de bêtises. Comme j'allais travailler sur Bordeaux, il fallait que je me loge pour ne pas faire la route. J'ai regardé les prix, les tarifs. J'ai trouvé un appartement sympa, un T2, parce que je ne pouvais pas évidemment acheter un grand appartement. Je n'avais que 6000 € d'apport et donc 8000 Francs de salaire. J'ai trouvé un T2 dans un bon quartier de Bordeaux à un prix - je pense - défiant toute concurrence : c'était 310 000 Francs à l'époque, soit 45 000 €. Ce n’était pas cher mais c'était à l'époque. J'ai acheté. Je pense avoir fait à la base une bonne affaire. Après, il y a eu l'inflation immobilière les années suivantes. À la base, j'ai eu cette chance. C'était pour acheter un appartement pour y vivre. Ce n'était pas pour investir. Olivier : Étant donné le faible prix, tu as pu conserver un niveau d'endettement acceptable ? Jérôme Fournier : Exactement. Là, j'étais en dessous des 33 %. Les banques calculent un taux d'endettement en dessous d'un tiers des revenus. Là, j'étais dans les clous. Olivier : On ne peut pas emprunter au-delà d’un tiers de son salaire en général. Jérôme Fournier : Logiquement, c'est ça, sauf qu'il y a des exceptions et j'en suis la preuve. Olivier : On va en parler justement… Donc, ton premier appartement : une bonne affaire, et là,…
 
Dormir deux heures par jour avec le sommeil polyphasique Vous pouvez écouter ce podcast avec mon invité concernant le sommeil polyphasique en live en cliquant sur le bouton Play en haut, téléchargez le MP3 en cliquant sur Download, ou le récupérer dans iTunes directement. Transcription texte de l’interview : Olivier : Bonjour et bienvenue sur cette nouvelle interview du blog « des livres pour changer de vie ». Je suis actuellement avec Thibault Vincent. Bonjour Thibault. Thibault Vincent : Bonjour et bonjour à tous les lecteurs du blog ! Je voulais dire que je suis très heureux d'être là, entre une review du livre de Dale Carnegie ou de Mihaly Csikszentmihalyi. Ça me fait très plaisir. J'ai l'impression d'être important ! Olivier : J'ai souhaité t’interviewer aujourd'hui car j'ai suivi avec attention le projet dans lequel tu t'es lancé : faire un mois de sommeil polyphasique Uberman. Je pense que, pour la plupart d'entre vous, vous ne savez absolument pas ce que c'est le sommeil polyphasique, ni le sommeil polyphasique Uberman. On va justement en parler. Avant de parler de cela, est-ce que tu peux te présenter rapidement pour nos lecteurs ? Thibault Vincent : Je m'appelle donc Thibault. J'ai 20 ans. Je suis entrepreneur. Je travaille dans le domaine du Web Marketing. J'ai eu cette envie du sommeil polyphasique que je pratique depuis février 2009. Au début, c'était davantage pour améliorer ma journée, la façon dont je gérais ma journée. Mais là - on va en reparler, j'en suis sûr - le sommeil polyphasique Uberman est plus dans l'optique : réduire son temps de sommeil pour avoir « Plus de temps pour travailler ». Olivier : Est-ce que tu peux expliquer ce qu'est le sommeil polyphasique ? Thibault Vincent : En fait, le sommeil polyphasique est une réorganisation de son temps de sommeil en siestes et en périodes qui sont disséminées tout au long d'un cycle de 24 heures d'une journée normale. C'est-à-dire qu’au lieu de dormir sur une nuit tout à fait classique de huit ou neuf heures, votre temps de sommeil va être divisé tout au long de la journée en siestes : soit des siestes de durée égale sur l'ensemble de la journée, soit une sieste principale puis des siestes intermédiaires tout au long de la journée. L'objectif est de réduire son temps de sommeil. La question que l'on peut se poser et que tu allais peut-être me poser - je suis désolé si je fais aussi les questions - c'est comment faire pour ne pas être tout le temps fatigué. Diviser son temps de sommeil pour le réduire, c'est bien. En fait, c'est cette division qui va permettre d'éviter un surmenage ou une sur-fatigue que l'on pourrait rencontrer quand on dort simplement quatre heures de suite dans une nuit normale. À la fin de la journée, on est a priori assez fatigué. Si on dort quatre heures en mode sommeil polyphasique, c'est un peu différent. Olivier : Je suppose que tu n'es ni un médecin ni un spécialiste du fonctionnement du cerveau pendant le sommeil. Mais en tant que praticien, quelle est ta compréhension du mécanisme du sommeil polyphasique ? Thibault Vincent : Effectivement, je ne suis pas médecin. Je profite de ta question juste pour rappeler quelque chose que j'aime à rappeler : moi, je ne suis absolument pas médecin. Je ne suis absolument pas non plus chargé de promotion pour le sommeil polyphasique. C'est vraiment une expérience que je mène. Il y a aussi vraiment plein d'aspects qui restent inconnus, notamment en termes de santé et sur le long terme. Je ne veux vraiment pas être un évangélisateur du sommeil polyphasique. Je parle simplement de mon expérience, de ce que je ressens, mais il n’y a aucun background scientifique derrière ce que je fais. Je veux que cela soit bien clair parce que je ne prétends absolument pas le contraire. Pour répondre à ta question, c'est en fait utiliser le principe des siestes et de l'optimisation du temps de sommeil. Je pense que tout le monde l'a expérimenté : quand vous faites ...…
 
Ce 17ème podcast est la retranscription audio de la chronique du livre Deep Survival (voir ici la chronique texte publiée il y a quelques mois), qui explore les raisons pour lesquelles certaines personnes vivent et d’autres meurent lorsqu’elles sont plongées dans des situations à risque, et explore les méandres de l’esprit humain, et comment les émotions et l’intelligence se mêlent pour prendre des décisions qui sauvent la vie – ou pas. Ce livre est une excellente base pour adopter le bon état d’esprit pour survivre dans une situation difficile, et c’est pourquoi j’ai eu le coeur d’en faire la chronique audio, afin qu’il puisse facilement être emporté par tous ceux qui vont vivre des aventures à risque – safari, alpinisme, voyage en bateau, etc. Vous constaterez également que ces principes s’appliquent également aux situations difficiles de la vie quotidienne, pas seulement aux situations extraordinaires ;) . Vous pouvez écouter ce podcast en live en cliquant sur le bouton Play en haut, téléchargez le MP3 en cliquant sur Download, ou le récupérer dans iTunes directement. Acheter ce livre sur Amazon :…
 
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