BARNIER AU SECOURS DE MACRON : TOUT CE QUE L’ON NE VOUT DIT PAS | CAMPAGNOL TVL | GPTV

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Le 24 septembre 2024, Christian Combaz était l'invité de La Matinale animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu, sur GPTV.
Ils reviennent sur la carrière politique de Michel Barnier et de sa récente nomination au poste de Premier ministre.

Christian Combaz, écrivain et journaliste français, est connu pour son regard critique sur la société et la politique. Né à Alger et ayant grandi dans un milieu catholique à Bordeaux, il a suivi une formation variée, allant de Sciences Po à l’atelier Viseux aux Beaux-Arts. Auteur de nombreux essais et romans, il s’est également distingué comme vidéaste web en créant la chaîne Campagnol TVL, où il partage ses réflexions sur la France contemporaine et nous parle des gens simples, normaux, avec le ton d’un témoin et d’un artiste.
Michel Barnier, le traître au service de Macron

Le 17 janvier 2024, à 73 ans, Michel Barnier est nommé Premier ministre par Emmanuel Macron. Cette décision n'est pas anodine : elle couronne une carrière politique marquée par une allégeance inébranlable à l'Union européenne, souvent au détriment de la souveraineté française. De Commissaire européen à la Politique régionale (1999-2004) à négociateur en chef pour le Brexit (2016-2019), il a constamment œuvré pour défendre l'idéal européen, sans jamais faire de l'intérêt de la France une priorité.

Sous des discours parfois critiques envers Bruxelles, il s'est en réalité montré fidèle à l’Union européenne. Ce positionnement a conduit à négliger, voire sacrifier, des intérêts vitaux pour la France, particulièrement lors de moments cruciaux où un véritable homme d’État aurait choisi de se tenir du côté de la nation.
Le Premier ministre qui a raté son entrée dans l’Histoire

Une fois nommé Premier ministre, il disposait d’une opportunité unique pour se racheter et défendre la démocratie française. À ce poste clé, il aurait pu exiger des comptes publics plus transparents, dénoncer les manœuvres autoritaires de Macron et rappeler l’importance du respect des institutions. Avec l'autorité que ce rôle lui conférait, il avait la possibilité de poser un ultimatum au président : soit respecter le choix des Français, soit démissionner en dénonçant les dérives du régime.

Mais il n’a rien fait. Pas un mot pour s'opposer, aucune action significative. Ce silence assourdissant face à des enjeux si cruciaux ne fait que renforcer l'idée qu'il n'a jamais véritablement incarné l'intérêt national.
La trahison d’un homme d’État

Pourquoi Michel Barnier, un homme avec une longue carrière derrière lui, n’a-t-il pas saisi cette occasion de devenir un héros national ? Pourquoi a-t-il préféré la voie de l’obéissance alors qu'il n’avait plus rien à perdre ?

Il restera dans les mémoires non pas comme un leader souverainiste, mais comme un serviteur docile de l’Union européenne et de la macronie. En refusant de se mouiller, il a trahi non seulement la France, mais aussi son propre potentiel. Ce dernier acte politique, son passage en tant que Premier ministre, sera la fin amère d'une carrière marquée par la soumission et l'échec à défendre le bien commun national.

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